Surnom(s): Ise, Koko
Age: 23 ans  
Date de naissance: 26 janvier  
Ville de naissance: Vermilava  
Orientation sexuelle: Homosexuelle  
Métier, statut: Coursière/Livreuse.  
Signe particulier: Une grosse tache de naissance sur le coude gauche (trait familial)  
Région: Hoenn  
Groupe: Artiste Pokémon  

- Iseko se force à un entraînement physique rude, maniant la Naginata à la perfection (mais seulement pour les yeux, rarement pour se défendre ou intimider)

- Elle appelle les deux goupix “les fripouilles”. Bien qu’elles soient du même sexe, les deux goupix s’aiment tendrement l’une l’autre.

- Epona est le nom d’un galopa dans l’un de ses jeux vidéos favoris. La ponyta qui accompagne l’artiste est très proche de sa cavalière et n’autorise que cette humaine à la monter. Si quelqu’un d’autres se retrouve sur son dos sans qu’Iseko y soit également, c’est la ruade et la brûlure assurée.

-Elle a des coups de coeur très rapidement, surtout pour les dames matures à forte poitrine. C’est rare qu’elle révèle ses sentiments à coeur ouvert et il faut la bousculer pour qu’elle se confie.

-Iseko possède un excellent sens de l’orientation et sait survivre en nature hostile. Elle est douée en camping improvisé.

-C’est une excellente cavalière. Elle peut chevaucher des Rhinocornes ou des Tauros sans problème.

- Elle est mauvaise en stratégie pokémon. Ne soyez pas surprise si elle s’obstine à lancer des attaques de type Feu sur un Hydrocanon. C’est juste parce qu’elle adore voir l’eau s’évaporer lorsque l’attaque de type Feu est puissante.

-C’est une vraie mère poule avec ses pokémons, mais une mauvaise cuisinière.

-Ses pokémons détestent aller dans leurS pokéballs. Ils sont donc souvent à l’air libre.

-Elle voudrait agrandir son équipe, mais difficile d’avoir le même coup de coeur que pour les trois pokémons qu’elle possède

-Elle est mal à l’aise dans les grandes villes.

Iseko est petite. 1m59 pour 60 kilos. La génétique est cruelle, il y avait une chance sur deux. Petite, certes, mais robuste et musclée. Vous ne voudriez pas qu’elle vous colle une gifle, vous ne risquez pas de vous relever. Les cheveux rouges ? Tous les dresseurs qui ont eu un type feu en ont n’est-ce pas ? Non. Cette courte crinière à la garçonne est d’origine naturelle et cette petite épie rebelle au sommet de sa tête l’est tout autant. Petite poitrine et peu de forme gracieuse, Iseko ne possède pas beaucoup de charmes et ne plaira certainement à personne. Néanmoins, niveau vestimentaire, bien que passant la plupart de son temps en tenue de cavalière, on lui reconnaît que c’est des habits à la mode et pratique. Dans les tons rouge et blanc, on la voit de loin lorsque tombe la neige. Elle se plaît à porter des équipements qui rappelleraient le temps des chevaliers à Kalos et accompagné de sa Naginata dans le dos, on lui reconnaît un certain style qui peut la dissocier de la masse.

D'apparence, Isoka semble froide et distante. On dit même qu’elle degage une petite aura de frayeur qui est rapidement perçu par les plus timides. Mais ce n’est qu’un masque involontaire. Si on passe son côté visuellement guerrière, elle est en réalité une personne sympathique et plutôt agréable à connaître. Sérieuse et rigoureuse dans ses actions, elle est d'une fidélité très impressionnante envers sa  famille et ses amis. Loin d’être parfaite, elle peut se révéler très maladroite dans son discours ce qui lui a fait défaut plus d'une fois. Elle se donne énormément dans ses relations et pourtant, elle demande très peu d'aide quand elle est en détresse.  Un peu orgueilleuse, elle supporte difficilement qu'on vienne à son secours, même pour la plus infime des tâches, croyant intimement que c'est un signe de faiblesse.

Artiste pokémon vous dîtes ? Son apparence ne correspond pas et pourtant, Iseko possède la belle capacité de voir les choses autrement et de pouvoir les partager avec les néophytes. Une attaque pokémon est une prouesse artistique à exploiter dans une chorégraphie. Le maniement du Naginata est une danse qu'elle partage. Le tout avec des rimes en primes le jour où elle montera sur scène.

Avec ce formidable talent, pourquoi n'est-elle pas encore connu? Son apparence trompe encore une fois, elle manque de beaucoup de confiance en elle. La coordination n'étant pas forcément vu comme un métier par ses parents, Iseko étouffa sa passion, s’entraînant en cachette avec ses partenaires pokémons. Avec cette mauvaise habitude, elle partage rarement ce qu'elle a sur le coeur avec les autres. Par contre, elle est sensible et c est aisée de savoir quand quelque chose ne va pas grâce à ses sautes d'humeurs colériques.  

Bonjour. Je suis le narrateur. Un être pas tout à fait omniscient mais fidèle compagne d’aventure de la demoiselle présentée. Je suis la petite voix qu'on entends intérieurement. Celle qui soutient, celle qui est taquine, celle qui crie lorsque les convenances ne le permettent pas. Enchanté.

Tout personnage est complexe. Sans blague ? En gros, décrire toute l’histoire d’Iseko serait trop long.

Je vous propose : on choisit trois événements important de sa vie. Je vous les décris brièvement et si vous avez envie d'en savoir plus, on se retrouve plus tard dac ? Non. Pas de bulle de dialogue. Ca tiendrait pas dans le codage. Soyons bref et concis voulez-vous ?

Iseko et la Naginata. Ce n’est pas compliqué. Jeune, c'était une jeune fille à l'imagination débordante et qui joue à la console. Ni trop peu. Ni à l'excès. Un personnage x d un jeu y avait cette arme de prédilection et l’envie d'imiter son idole était forte. Au début elle prenait des petites branche qu'elle taillait (et des branches dans un lieu volcanique c’est pas ce qui pousse le plus facilement) puis elle essayait. Ca se casse. Elle recommence. Encore et encore. Elle en demande une pour son anniversaire. On le lui promet que si elle a une excellente moyenne à l école. Ben Iseko, elle sait bachoter.

Une parole est une parole : on lui achète un comme si c'était un jouet. Aucune blessure déplorée pour le moment.

Iseko et Epona. Il faut savoir que la demoiselle a fait beaucoup de petits boulots. Et mine de rien, marqué comme passion : Naginata, cela ouvre quelques portes , notamment celui de livreur et de messager. Même sans pokémons, on savait la jeune femme agile et débrouillards pour apporter des colis un peu lourd et à remettre en main propre.

Epona c'était une petite Ponyta sauvage rencontré par hasard et c'est un véritable coup de coeur. Au début, elles ne faisaient que se croiser. Puis elles ont passé plus de temps ensemble. Epona n’accepta pas immédiatement que la jeune fille la monte. Il fallait de la confiance. Du temps. De la complicité. On n'aura jamais vu plus beau sourire que le jour ou Iseko revint à Vermilava sur le dos d’un Ponyta chromatique. Dit comme ça, on pense que c'est rapide et facile. Eeet, ca a duré 3 ans.  

Iseko et la coordination. Soyons honnêtes, elle avait toujours eu un attrait pour la chose. Admirant Atalante de tout son âme à  chaque fois qu elle passait à la radio ou a la télévision. Avec Epona  à ses côté, elle caressait l'espoir d’en faire carrière mais lorsqu'elle proposa le projet à ses parents ce fut un non colossal. Au placard l’idée. Pendant deux ans. Jusqu'à ce que sa grande soeur de dix ans son aînée s'en mêle. Aimi travaillait dans la finance. Un travail mal vu par les parents mais extrêmement bien rémunéré. Proche de sa soeur et un peu excentrique, elles s’échangeaient régulièrement des lettres et c'est lorsqu'elle sentit que les mots de sa cadette étaient devenu lourd qu’elle débarqua à l’improviste à la maison. Un soir . Heure où Iseko n’est pas dans sa chambre alors qu’elle devrait y être. Non non non. Elle était un peu plus loin, en train de s’imaginer un monde.

Un monde de coordination, Naginata à la main, sur le dos d’Epona, devant une foule en délire. Les deux petites goupix, cadeaux d’un client aussi excentrique que sa soeur, projetait leurs attaques pour en faire des compositions magistrale. Feu et Glace. Iseko était tellement dans son monde, à rimer en folie devant ce public imaginaire qu’elle n’entendit pas du tout sa grande soeur arrivée. Ce n’est que lorsqu’elle finit son spectacle et qu’elle entendit des applaudissements que notre jeune artiste se figea, comprenant qu’elle était démasquée.

Enfin, c’était peut-être le petit coup de pouce dont elle avait besoin. C’est sa soeur qui la poussa à suivre sa passion et son rêve. Peu importe si c’était une voix sans issue, il valait mieux essayer et échouer que de regretter toute sa vie de n’avoir rien fait. Avec le support d’Aimi, Iseko confia à ses parents ce qu’elle avait sur le coeur. Ils grondèrent et ce fut finalement sa grande soeur qui l’emmena en vacances. A Aléra. Pour une durée indéterminée.